La Kentucky Hockey League : Du poulet pour Ovechkin
Alexander Ovechkin, joueur de hockey russe et grassouillet, regretté champion marqueur de buts, menace encore de rester en Russie si la prochaine convention collective ne lui plaît pas. Le Tsar chercherait à faire annuler son contrat si une somme trop importante devait être amputée de son contrat.
Mais quand est-il de la quarantaine de buts « amputés » de sa feuille de pointage ces deux dernières années ? Des explications camarade panure?
Trop de poulet frit? Quelques verres de vodka en trop? Une hygiène de vie déficiente? Un athlète qui commande des dizaines de millions de dollars par année, garantis, ne devrait-il pas se la fermer et cesser de proférer des menaces à ceux qui l’ont élevé au rang de dieu? Sache Alex, que sans emballage (LNH), un produit (les joueurs) perd rapidement de sa fraîcheur.
Parce que 35 buts, pour un joueur de la stature d’Alexandre le Grand, c’est comme d’applaudir Hal Gill enfiler harmonieusement sans s’enfarger quatre enjambées en patinant de reculons. Tout le monde s’en fou. Les gens paient pour te voir enfiler soixante buts par saison capitaine. Rien de moins. À cinquante-neuf, tu perds déjà un peu de ta saveur, et j’exagère à peine.
Personnellement, Ovy, je trouve que tu commences à sentir le vieux poisson.
À ce prix, avec ces statistiques, pas question de te prendre dans mon pool.
Crosby « in ».
Tu peux rester en Russie.
Sinon arrête de pleurnicher et botte-toi le cul.
Saison annulée?
Difficile d’y croire. Seulement, les propriétaires donnent l’impression qu’ils ne lésineront pas sur les moyens. C’est quatre-vingt-deux matchs ou rien. Chantage? Possible. Mais cette semaine sera importante.
Sur une note plus positive, l’annulation de la saison réglerait définitivement et pour de bon le cas des Coyotes. S’ils sautent sur la glace cette année, ce sera pour une dernière fois sous la tutelle de maman Gary. Jamison et Glendale ne s’entendront jamais.
J’ai déjà très hâte d’entendre le commissaire annoncer tout juste après noël le transfert à Québec en 2013.
Vous aurez deviné que je ne suis pas partisan de la théorie de l’expansion, même si je ne nie pas cette possibilité.
Pensez-y…
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