La politique et le sport ne font pas bon ménage et je n’adhère à aucun parti lorsque vient le temps de parler du retour des Nordiques. Le hockey est parfois vicieux et les politiciens sont souvent vicieux mais la mère de tous les vices c’est l’argent. En affaire, les dollars d’un séparatiste convaincu à la même odeur que ceux d’un fédéraliste acharné. L’argent qu’on reçoit a toujours bon goût.
Toujours.
En ce sens, je n’adhère à aucune conspiration politique qui pourrait nuire au retour des Nordiques à Québec. En mon sens, c’est « done deal » depuis l’implication de Québecor dans le dossier et le retour de la LNH à Québec a été promis à Pier-Karl Péladeau. Mon discours ne change pas. Peu importe ce qui sera annoncé pour Québec avant la finale (lire ici expansion confirmée), ça se terminera en relocalisation.
Seulement je me questionne sur le départ de Péladeau comme chef du PQ. Est-il possible que son implication en politique active causait un réel préjudice auprès de certains gouverneurs de la LNH?
Est-ce que la présence de Péladeau en politique empêchait la concrétisation d’une quelconque transaction?
Et si Péladeau avait quitté afin de permettre à son entreprise d’attacher la locomotive des Nordiques sur les wagons de TVA sports?
PKP aurait-il pu manœuvrer avec aisance autant en politique qu’en affaire en sachant qu’il était celui qui a empêché le retour des Nordiques à Québec?
J’en doute.
Heureusement, je ne suis pas partisan de cette théorie, je préfère celle des raisons familiales qui me semblent justes. Mais la question mérite d’être posée en attendant notre annonce.
Pensez-y…
Commentaires
captivant
Chose certaine d'avenant le fait qu'il y est eu rapport avec les allégeances de PKP, (là dessus on aura jamais la vérité) je lui lève mon chapeau d'avoir mis ça carrière politique pour nous permettre d'avoir notre équipe même si je croix pas à ça!
Done deal depuis la signature du contrat télé!
J'ai donc l'impression que le désir d'indépendance du Québec de PKP se trouve en haut du rapatriement des Nordiques dans son échelle de priorités. Et en haut de cette volonté profonde et au tout premier rang, se trouve sa petite famille. Il est clair pour moi que les Nordiques n'ont donc rien à voir avec sa démission comme chef du PQ.
Ceci est bien sûr une opinion surtout basée sur mes propres sentiments. Qui vendrait sa famille ou son désir/non désir de faire l'indépendance du Québec pour une équipe de sport professionnelle?....... Non! .........Ne répondez pas!