C’est quelque peu en retard que je reprends je clavier. Les mains pleines de plâtre, les poumons charcutés de matières nocives et le fond de culotte plein de vis à plancher il fallait que j’écrive un mot à propos de Renaud Lavoie.
En passant, puisque tout le monde en parle sur les réseaux sociaux et le fil de nouvelles, je fonctionne avec l’idée de terminer mes rénovations et de vivre dans ma maison l’an prochain. À moins que ma blonde nous force à déménager de nouveau.
Quelques questions en rafales :
Est-ce que les Hurricanes de la Caroline étaient sur le point de déménager ?
Les rumeurs étaient-elles à ce point intenses qu’une mise au point était nécessaire ?
Est-ce que le discours de la LNH à propos d’hypothétiques transferts a changé ?
Pourquoi en faire une nouvelle pendant un match du Canadien ?
Est-ce que Renaud a confirmé sur les ondes de TVAsports le statut des Coyotes et des Panthers l’an prochain ?
Et celui des Hawks et des Pingouins (juste au cas…pour être sûr) ? On s’énerve avec un rien à Québec.
Est-ce que Renaud Lavoie et Louis Jean sont au courant de quelque chose ?
Parce que les Thrashers fonctionnaient avec l’idée de jouer à Atlanta avant de lever les feutres vers Winnipeg.
Dans les circonstances, je trouve la formule « fonctionnent avec l’idée » plus que douteuse sinon fort peu habile. Renaud Lavoie n’est peut-être pas le plus grand journaliste sportif mais ce n’est pas un amateur non plus. Chaque intervention entre les périodes doit être préparée, ce n’est pas de l’improvisation.
Les faits en Caroline demeurent : les Hurricanes sont à vendre et le marché hockey à Raleigh est en perdition. À Québec nous sommes prêts.
Et si...
Et si c’était les Coyotes ?
Attendons que Renaud Lavoie le confirme avant de s’énerver.
Pensez-y…
Commentaires
Un amateur avec de la rigueur et internet sera plus au fait que lui, la preuve il y en a plusieurs ici qui son lui d'être journalistes mais qui sont 10 x plus au du dossier que notre Seattle National
Perso cette sortie je la trouve raté, ou bien ils voulaient justement qu'on se pose la question